Interdiction masquée de la manifestation féministe pour tou.te.s du 22 novembre 2014 par la préfecture de la Haute-Garonne

Pour touTEs celleux qui se sont fait tuer par les flics
Pour touTEs celleux qui se font embrouiller par les flics
Pour toutes les ZADs
Pour tuer l’ennui
Pour que les murs ne soient plus bancs
Pour faire sourire les "encagoulés"
Pour faire réagir les "bons citoyens"
Parce qu’un ACAB sur la Pref ça fait plaiz
Parce que Vinci et les autres détruisent nos vies
ici et partout
quelques individuEs
dans la nuit du 31 octobre

La Coordination Nationale des Chômeurs, Intérimaires, Intermittents et Précaires, qui réunit 18 collectifs régionaux les 8 et 9 novembre 2014 à Toulouse, apporte son soutien aux manifestations organisées aujourd’hui, à Toulouse et partout en France, en hommage à Rémi Fraisse.
Nous condamnons avec la plus grande fermeté les graves agissements des forces de l’ordre sur le site du barrage de Sivens qui ont entraîné la mort de Rémi Fraisse, et plus largement, la répression et la violence (...)

Nous tenons tout d’abord à présenter nos condoléances sincères à la famille de Rémi Fraisse, à ses ami-e-s et à tous-tes ses camarades. Nous tenons également à nous excuser du temps qu’il nous a fallu pour publier ce communiqué. Malheureusement, la mort de ce militant ne nous surprend pas outre mesure. Cela fait des années que la police française mutile lors de manifestations et assassine dans les quartiers populaires.
Nous tenons tout d’abord à présenter nos condoléances sincères à la (...)

La lettre qui suit est adressée par Farid El Yamni, frère de Wissam - assassiné par la police le 1er janvier 2012 - à la mère de Rémi Fraisse. Il a voulu qu’elle soit rendue publique, mais elle sera également envoyée dés que possible à l’adresse des parents de Rémi Fraisse.
Trouvé sur Paris luttes info

Rémy, 21 ans, est mort dans la nuit de samedi à dimanche à Sivens. Selon plusieurs témoignages convergents, il s’est écroulé à quelques mètres du camp retranché de la police, atteint par un tir au niveau de l’épaule, avant d’être immédiatement ramassé par la police.

Ce lundi 22 septembre, un petit groupe de « riverains » du quartier des Ponts Jumeaux et du boulevard de Suisse avait prévu chips et cacahuètes pour fêter le « retour à la tranquillité » du quartier après la mise en application de l’arrêté municipal anti-prostitution.
Nous, également riverainEs du quartier, ne nous réjouissons pas d’une tranquillité qui exclut les travailleurEUSEs du sexe, mais aussi les Roms, les sans-papierÈs, les précaires, les squatteur-euse-s et les personnes trans.

Silence totale sur une lutte qui reste pourtant bien vivace pour preuve des actions en Avignon et une manifestation à Chalon avec fermeture préventive, de la préfecture, du pôle emploi, du siège du PS, de la CCI, des entreprises d’intérim...

Avec une grève de 173 jours, les postier-e-s du 92 ont mené le conflit le plus long de l’histoire de La Poste. Malgré toutes les difficultés, ils ont infligé une défaite à La Poste. Voici la déclaration de l’Assemblée Générale des postiers grévistes des Hauts-de-Seine.

Victoire pour les travailleurSEs du sexe !
Le STRASS salue le retrait de la pénalisation des clients du texte de loi sur la prostitution qui sera présenté au Sénat. Communiqué de presse du STRASS du 8 juillet 2014