Besoin de soutien à la Casa Cantoniera Occupata di Oulx
Dans un moment historique où la répression est toujours plus forte et notre capacité d’action de plus en plus limitée, nous sentons la nécessité de nous organiser toujours mieux, en essayant de réfléchir ensemble pour réagir. Des luttes contre les CRA, à celles contre les rafles, contre les déportations et le système de discrimination et de sélection des gens, contre le système de répression et de contrôle étatique et policier qui (...)

Un retour sur le Squat Henry Russell, un an plus tard (plus ou moins).

Quiz musical en soutien au Jeko. Samedi 18 mai à 20h à l’Obs (87 rue du 10 avril)

Soirée de présentation du Jeko à la Chapelle (36 rue danielle casanova), mercredi 15 mai. 19h

Le Cercle des Voisins invite Karine PARROT pour une rencontre à l’occasion de la parution de son livre « Carte blanche, l’État contre les étrangers »

Permanence d’entraide et de résistance aux politiques migratoires, tous les lundis de 17h30 à 19h au café Itinéraire Bis.

Communiqué de presse : à l’occasion de ses trois ans, Autonomie fait le point sur la situation au bâtiment .
On va pas vous mentir.
Y a le feu.
Au sens propre, cette fois.

Rencontre samedi 20 avril à 11h (le temps d’être à l’heure pour la manif), à la librairie Plùm (Café Plùm à Lautrec, Tarn), autour de son livre "Carte Blanche, l’Etat contre les étrangers" paru aux éditions La fabrique en mars 2019.

Des mois après le début du "mouvement des Gilets-jaunes", la rage rencontrée dans la rue ainsi que les différentes pratiques qui s’y sont développés (destruction de structures capitalistes ou étatiques, affrontements avec la police, pillages, vague de sabotage diffus, divers tentatives de blocage des autoroutes ou des rond-point etc.) côtoient des traits politiques plus problématiques (drapeaux français, marseillaise chantée en cœur, discours travailliste et citoyenniste, sexisme, racisme etc.)

Depuis des années la France s’équipe pour arrêter, enfermer, expulser les étrangers indésirables du territoire. (bien sûr après les avoir empêché par tous les moyens d’y entrer). Dans les rouages de cette machine à expulser il y a des dispositifs particuliers pour les personnes mineures. C’est le soupçon qui préside à cette démarche. Il est important de garder en tête que l’alternative n’est pas seulement entre mineur et majeur, mais entre protection et expulsion. Ce trie se fait sur fond d’une double pression : budgétaire de la part des départements qui veulent réduire leur dépense, et politique de la part de l’Etat qui veut augmenter le nombre d’expulsion.