Pourquoi faire une semaine contre la numérisation du monde et des existences ?
D’abord parce que, grâce au numérique, le confinement a rendu le « monde à distance » plus présent que jamais. Ensuite parce qu’avec la « transition écologique », l’industrie numérique et ses usages font partie du dispositif de « relance », donc de gouvernement, qui sont mis en place pour gérer la catastrophe ambulante qu’est notre monde régit par l’économie. Enfin, parce que nous n’entendons pas rester passifs et impuissants, il nous faut des connaissances, des images et des outils pour faire exister autre chose.
Du 2 au 6 juin, des discussions, des projections et des repas au Local Piquemil, à la Chapelle et au CRAS.