En attendant que tout (re)crame :-)

Le 8 juin, plusieurs collectifs, assemblées et associations féministes appellent à une journée de mobilisation féministe !
A Toulouse, rendez-vous à 19h sur les allées Jules Guesdes !

Rendez-vous dimanche à 14h dans le jardin de La Chapelle, 36 rue Danielle Casanova, pour se rencontrer, préparer des banderoles et s’organiser pour la suite.

De George Floyd à Adama Traoré | Pas de Justice pas de Paix |
Rassemblement mecredi 3 juin à 19h au métro Capitole

Le Kiosk réouvre ses portes tous les lundis de 19h à 21h.

S’organiser peut sembler être la partie la plus contraignante du militantisme, mais c’est pourtant à la base même de nos actions et de nos décisions. Il y a plusieurs façons de s’organiser, et pour différents buts.

Le confinement nous avait forcé à suspendre nos permanences syndicales, mais nous reprenons désormais de plus belle. En plus de la permanence mensuelle, un samedi par mois (habituellement le 3ème samedi), de 15h à 18h, nous tenons une permanence hebdomadaire tous les mardi de 19h à 21h, au vu de la crise sanitaire et sociale actuelle. Les gestes barrières sont évidemment de mises lors de ces permanences.

La crise sanitaire n’est pas finie. La crise sociale, elle, ne fait que commencer. Elle va être brutale. Les premiers plans de licenciement massif ont déjà été annoncés. À Toulouse, après Daher c’est au tour de Derichebourg Aeronautics d’annoncer le licenciement probable de 700 travailleur·euses. Safran s’oriente vers des départs « volontaires » des salarié·e·s les plus âgé·e·s. Nous apprenons aujourd’hui 14 mai, qu’AIRBUS travaille à un plan de licenciement qui concernerait 10 000 travailleur·euses dans le monde.

Réouverture partielle de la bibliothèque anarcha féministe (33 rue Antoine Puget) les dimanches de 14h à 18h et mercredis de 16h à 20h à partir du 17 mai. 
Le fonctionnement sera modifié : prêt/rendu des bouquins et brochures au comptoir.

Un journal ariégeois de l’état d’urgence avec des gants mais sans pincette
45e jour de confinement #DER

En Complément aux luttes en cours.
Le dimanche 31 mai, faisons des assemblées populaires dans notre rue, notre quartier, notre village, PARTOUT.

Dans la nuit du 8 au 9 mai à Toulouse une caisse d’Epargne a été la cible d’un tag « Macronavirus à quand la fin ? » et les vitres ont été brisées.

#Confinésmaispasmuets
Voilà un mois que nous sommes confinés, que par manque d’anticipation et d’informations, de moyens mis dans les hôpitaux et la santé (en témoignent les luttes de ces derniers mois du personnel hospitalier), et par un goût cynique pour les réponses sécuritaires, nous avons acceptés : de stopper tous nos déplacements d’arrêter de se voir entre amis et familles de ne plus se réunir pour parler, penser la situation, réfléchir d’autres réponses que celles mensongères et (...)

Face au capitalisme et au mépris de l’Etat, la solidarité et l’autogestion sont la solution : la collecte alimentaire et sanitaire continue dans plus de 20 lieux différents à Toulouse et ses environs !

Ce premier mai à Gaillac, nous étions une quarantaine de manifestant.e.s à battre le pavé (en respectant les distances de sécurité) sous les objectifs photos de la gendarmerie.
Réflexions d’un participant à la manif gaillacoise du 1er mai.

Résistance international contre l’autoritarisme !

Un journal ariégeois de l’état d’urgence avec des gants mais sans pincette
Numéro 7, 45e jour de confinement

Au delà des clichés, on y parle des militant.e.s antifascistes et des luttes à mener pour l’inclusivité.
Y compris au sein de nos milieux.

Confiné·e·s, privé·e·s de manif on s’emmerde un peu. Heureusement en se promenant on peut voir que Toulouse est décorée de messages politiques.

Nous reproduisons ici le témoignage d’une colocation Toulousaine dans laquelle se trouve un·e membre de l’association Eunomia, récit d’une répression :