Au delà des clichés, on y parle des militant.e.s antifascistes et des luttes à mener pour l’inclusivité.
Y compris au sein de nos milieux.
Expressions
Pour que cesse le confinement de notre lutte et de nos amitiés
Ce texte, publié sur le blog Nous sommes tou-te-s des malfaiteur-euse-s, est porté par des personnes mises en examen dans le cadre de l’information judiciaire ouverte sur des militants de Bure. Il a été rédigé par le biais de complexes allers-retours du fait de leurs contrôles judiciaires qui les obligent à « s’abstenir de rentrer en relation » entre elles. Par cette tribune, publiée également sur Reporterre et Mediapart et faisant suite à une enquête en trois volets elles souhaitent se réapproprier tant bien que mal une expression collective face à cette répression atomisante.
EXPULSION DE LA ZAD DE LA DUNE Face à la fascisation : rage, solidarité, organisation !
En Vendée, la ZAD de la Dune se bat depuis plus de six mois contre un projet de port de plaisance et son monde. En plein confinement, la préfecture évacue la ZAD, envoie 200 gendarmes, un hélico, des drones et... 70 locaux/locales zélé.e.s pour incendier nos cabanes, défoncer des cametars et s’emparer de nos animaux. Le fond de l’air est brun. Voici une tribune sur l’expulsion-destruction de la zone le 8 mars 2020.
Dénégations. Dénégation et radicalité : une hypothèse ou quand le Chat Botté réduit l’ogre en souris..
Chaque événement démesuré voit naître ses détracteurs et ses réducteurs. Ils considèrent (comme le Chat Botté de la fable qui mange l’ogre après l’avoir réduit en souris) que réduire la représentation de ce qu’il se passe pour le mettre à sa portée serait en mesure de donner les moyens de triompher sur ce qui terrifierait, si toutefois on le regardait dans toutes ses dimensions. Ce triomphe obtenu au nom de la peur condamne à l’impuissance et la pandémie de Covid-19 qui est en train de se répandre sur la planète ne fait pas exception à la règle. Elle aussi a ses réducteurs et ses détracteurs. Pourtant il y a bien des choses à redire, à contester, à attaquer face à ce qui se passe, ne serait-ce que l’État et le capitalisme. Mais L’Histoire pousse parfois les adeptes de la perplexité dans le grand bain, et les salariés contraints de continuer à travailler avec le virus comme les émeutiers de la faim ou les révoltés de l’enfermement n’ont pas besoin de dénier la réalité du virus ou de réduire la pandémie à une taille moins effrayante pour se révolter et lutter à la fois contre le virus et contre les modalités de sa gestion par le pouvoir.
1er mai déconfiné
Pour un premier mai de rupture sociale
Pour le respect des libertés fondamentales
Adoptons la désobéissance civique
Avril aux balcons, mai au tison
Confiné·e·s, privé·e·s de manif on s’emmerde un peu. Heureusement en se promenant on peut voir que Toulouse est décorée de messages politiques.
Retour à Paris
Deuxième passage à Paris, en service infectieux.
Récit subjectif.
Un texte initialement publié sur Dernieres nouvelles de la peste
Cet article est le deuxième volet d’une série d’articles.
Voir le premier passage à Paris
"Notre vengeance sera masquée"
Alors que la police ouvre des enquêtes pour quelques messages accrochés aux fenêtres, une mystérieuse banderole a fait son apparition au-dessus du périphérique, du côté de Rangueil...
Confinement : En garde à vue pour une banderole contre Macron
Nous reproduisons ici le témoignage d’une colocation Toulousaine dans laquelle se trouve un·e membre de l’association Eunomia, récit d’une répression :
Nosotros journal confiné
Journal du groupe anarchiste du Comminges
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